Karim
paradigme

café du Commerce

17:32 Café du commerce.

Paulo, votre Directeur Général et vous jouez au 421.
C’est un événement exceptionnel, inattendu et comme  votre patron vous invite, vous acceptez ses règles.
Il ne connaît pas ce jeu folklorique, Paulo et vous pensez le battre.Donc vous jouerez 1 coup et votre boss 2, vous êtes d’accord et Michel le responsable du bar acquiesce du coin de l’oeil.

18:27 Vous n’y connaissez pas grand chose en math et vous perdez un peu, mais ça va.

19:11 Puis votre patron décide que c’est pas assez rapide pour lui, et vous « impose » que lui utilisera 2 dès de plus.Ça devient chaud.19:19Un moment, pour Paulo et vous, le 421 n’est validé que si les 3 dès ne se trouvent pas à plus de 5 cm les uns des autres.

19:47 Et puis, il vous faut jouer de la main gauche, en masquant vos yeux de la main gauche. Michel veille et surveille la régularité.Bref après plus de 2 heures vous avez maintenant en Georges-Emmanuel, votre boss, un amateur absolu. Il adore ce jeu. Vous lui devez d’ailleurs votre salaire du mois, du suivant et les trois quart de celui après.Ben vous n’avez pas osé dire stop, Michel vous fait peur. Buy back, Quantitative Easing, bail in, dérégulation, Grand Reset, … c’est ça en gros maintenant notre économie.Quand tout le monde joue sa partie en éthique et morale, ça va.

Mais quand la triche s’organise en bande, c’est moins bien.Il est donc grand temps pour nous tous, de siffler la fin de la partie.Pardon, le moment est venu de changer de jeu, celui ci est devenu injouable et même pas drôle : c’est un jeu perdant-perdant.

Bonne année 2021 !

publications

une piste de réflexion

Ce qui suit est à prendre avec grande attention.

C’est que notre système a produit ce monstre au nom paradoxal d' »Économie », puisse qu’il aurait dû dans les faits se nommer « Gaspillage ».

Ce vilain ordonne que le salarié soit pris en otage et en étau par la cupidité de deux associés naturellement opposés dans leur position, mais partenaires dans leurs objectifs : le consommateur et le commercialisateur.

Karim

Ces deux compères demandent et œuvrent sans relâche pour la baisse des prix, de tout, sans exception.

Dans ce duo machiavélique, celui cependant qui subordonne, celui qui a le droit de vie et de mort sur l’autre, c’est le consommateur. Ce client qui a toujours raison.

La chance du producteur /fabriquant /commerçant, c’est que ce consommateur n’a pas compris ni la conscience de son pouvoir absolu. Il se plaint en position artificielle d’exploité, se croit victime d’agissements contre sa volonté, alors que dans les faits, il est le patron de droit divin.

Protégé par la vérité cruelle de l’adage, dans notre monde tel qu’il est, dans nos attitudes egocentrées, qui veut que seul on ne va nulle part et qu’ensemble c’est le b… autrement dit le chaos.

Ses intérêts restent étonnement ainsi protégés, car des deux lui s’enrichît lorsque l’autre idiot s’appauvrit.

À l’aune du bénéfice du consommateur, en qualité et en quantité, il est vrai qu’il faudrait qu’il agisse dorénavant en intelligence, qu’il prenne la conscience que son pouvoir s’exprimera sans condition, s’il arrive à se contenter avec son frère, l’autre.

Si, dans l’effroi devant le changement, l’on ne veut rien modifier à ce monde, à ce paradigme et encore que, il faudra que le consommateur, coûte que coûte, accepte de payer le vrai prix des choses.

Samedi 28 Novembre 2020 à 17:12

treebu17

ce que nous engageons

• La France, jadis initiatrice dans de nombreux domaines importants pour l’humanité, redevenue des premières puissances mondiales

• son peuple enfin apaisé, uni, éduqué, dans une société pionnière et évoluée

• grâce à une administration adulte, responsable, protectrice, juste, plus maternelle que paternelle

• son administration sera de recenser et de rassembler tous les talents, pour toujours bénéficier des dernières avancées dans toutes les disciplines

• elle veillera à éduquer les esprits faibles ou affaiblis, pour les aider à s’émanciper et s’épanouir

• elle protégera toutes et tous de façon équitable

• elle arbitrera, fournira un cadre plus pour l’épanouissement personnel que pour le développement économique

• elle sera là donc pour installer un nouveau logiciel dans les relations à l’autre, au travail, aux ressources, au futur, à la nature, au progrès, …

• elle aura surtout pour objet de servir cette vision proposée et désirée par le peuple Français

treebu17

nous peuple de France

• en une décade d’ici, nous ferons que notre pays indivis retrouve son leadership au sein des nations

• et que comme par le passé, il redevienne un exemple glorieux et éternel pour l’humanité

• aux fins de faire que tous les Français, comme en une seule famille, soient des peuples les plus sereins au monde

• en utilisant comme opportunités et leviers, les nouveaux enjeux de notre civilisation moderne

• ainsi que les dernières techniques et découvertes récentes des sciences

treebu17

quelques précisions

• Ce site n’est pas dans sa version définitive. Adeptes du Kaizen, terme japonais qui signifie la quête de l’amélioration constante, nous affinerons volontiers notre pensée, donc ces lignes.

• Certaines pages paraîtront inachevées. C’est normal. Ne soyez pas surpris, alors, si vous voyez un jour les informations se changer sous vos yeux, au moment d’un rafraîchissement de page. Ne serait ce que pour la correction d’une coquille. Elles sont si nombreuses, nous écrivons parfois à la volée, au fil de l’eau.

• Ce site n’est que l’expression de pensées subjectives et non des doctrines absolues que nous voulons imposer. En démocratie, en politique, il est normal que les idéologies se télescopent.

• Nous ne sommes pas dans le savoir. Nous le définissons comme permanent, définitif, intemporel. Forcément archaïque. Nous nous voulons dans quelque chose qui avance, liquide, qui se cherche, trouve des pistes, et s’approfondit. Nous poursuivons donc plutôt la connaissance. Aidez nous à l’approcher.

• Aussi et encore, nous sommes ouverts aux débats. Vos idées peuvent être à l’opposé, partagez les avec nous, nous ne savons pas tout, si vos avis contraires sont donnés avec respect, bienveillance, et gentillesse. « Be smart be nice » nous aimons à dire, soit intelligent, soit gentil !

• Ainsi nous ne prônons pas la violence, tout peut se gérer avec la parole dans une attitude positive. D’autant que nous, le peuple, avont déjà de longue date le pouvoir. Si vous ne le croyez pas vous le serez convaincu à la lecture de nos travaux.

• Le matériel que nous vous présentons ici sert à appuyer nos thèses, et a donner de la consistance à nos propos. Nous avons glané des textes, images et extraits de vidéos partout sur internet. La plupart du temps ils viennent de l’Open Source, et sont donc libres de droits. Attention, free en Anglais veut dire « libre » mais pas « gratuit ». Quand ils ne le sont pas, nous vous dirigeons directement vers les sources. Si nous n’avons pas reçu d’autorisation, et si vous ne souhaitez pas que vos œuvres soient utilisées ici, faites nous le savoir. Nous les retirerons immédiatement.

• De même, lorsque vous nous adressez des vidéos, des images, des pdf, ou tous les autres types de documents, veuillez à ce qu’ils soient dans le cadre du copyright, celui de la loi, et que vous en connaissiez les sources. Nous vous faisons pleine confiance et partagerons avec tous, ceux qui nous sembleront en relation avec la ligne éditoriale de notre groupe. De plus nous ne sommes pas structurés pour effectuer un contrôle systématique.

• Si certains documents sont en Anglais, c’est que nous n’avons rien trouvé d’équivalent en Français. Dans ce cas, vous trouverez les traductions dans la rubrique « traductions » du chapitre « matériel ».

• Il nous arrive de placarder des affichettes mettant en avant nos messages sur les espaces publics prévus à cet effet. Nous vous demandons de faire la même chose, c’est à dire de rester dans le cadre de la loi, lorsque vous récupérez du matériel ici. Ne pratiquez pas l’affichage sauvage et ne jetez pas ces documents sur la voie publique.

• N’hésitez pas à nous contacter, si des fautes de grammaire ou d’orthographe se sont glissées. Pareillement, si certains passages vous semblent difficiles à la lecture, ça provient de nos jargons originels, faites le nous savoir pour que nous puissions vous expliciter.

• Sinon, avez-vous des suggestions à nous faire ?

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l’argent nerf de naguère

• Il nous faut conserver notre indépendance.

• Nos idées intéressent les grands partis. Pour les annihiler, comme on rachète un concurrent grandissant trop vite. Ou pour les utiliser en les édulcorant, en les vidant de tout ce qui est créatif, ou de tout ce qui demande du courage.

• Alors sans financements extérieurs des courants politiques en présence, sans les appuis des grands industriels, nous ne pouvons pas avancer bien vite.

• Quant aux subventions que certaines officines publiques ou quelques fondations distribuent avec discernement, nous n’entrons pas dans les cases prévues, bien que salutaires nous sommes atypiques.

• Nous finançons tout par nous même, sans compter sur ces expériences salariales qui ont laissé des traces et quelques dettes.

• Nous avons le besoin de vos dons pour avancer dans nos travaux, aux fins de pouvoir proposer un programme ficelé pour 2022.

• Prenez le comme le meilleur investissement que vous puissiez faire pour votre retraite, et pour le mieux vivre de vos enfants.

treebu17

un nouveau paradigme

• Un paradigme, c’est la manière de voir les choses, une représentation du monde, un modèle cohérent. Une grille de lecture en fait, une culture peut être.

• Aujourd’hui, les difficultés et nos frustrations étant tellement grandes, nous le savons et au moins le ressentons tous, il faut nécessairement changer notre cadre de références.

• Nous allons tenter de vous éclairer sur ce qu’il en est du socle de notre modalité sociétale.

• Voilà de façon très simplifiée, les explications illustrées de notre actualité, de ce qu’il faudrait éviter, et de ce qu’il faut qu’il soit.

• Prenons pour ce faire une personne riche, une personne moyenne et une personne pauvre. Chacun doit avoir une perspective, ne serait ce que de voir devant lui, pour prévoir et agir.

• Symbolisés et représentés ici par un grand, un moyen et un petit. La balustrade, c’est concrètement tout ce qui nous empêche. Quant aux caisses, on peut imaginer qu’elles symbolisent les incidences du système.

La réalité

• Pour les petits de tous temps, et pour les moyens ces temps-ci, les grands sont trop grands, inutilement trop grands. Surtout quand ils bénéficient de mesures relativement plus souples, soit disant parce que eux peuvent investir massivement dans l’économie, et tirer le système vers le haut. Ça ne fait que les avantager encore. Comme tous les pays sont en concurrence, il ne faut rien leur imposer, les portes ailleurs sont grandes ouvertes, prêtes à les accueillir.

L’égalité

• Voilà ce qu’est l’égalité. Tout le monde obtient la même part. Ce n’est donc pas l’outil pour justement rééquilibrer les mauvais aléas. Depuis notre histoire, nous sommes culturellement désavantagés et réclamons à tort l’égalité. Elle a été utile pour mettre tous les hommes au même niveau par la démocratie, mais maintenant ça nous gratte fort quand quelqu’un a plus que nous. Ce que ne peut gommer l’égalité.

La redistribution

• Beaucoup, trop hâtivement, veulent que les richesses soient redistribuées. Vous seriez riches, vous ne trouveriez pas ça très juste d’être spolié, que votre travail ne soit pas reconnu. Mais surtout, c’est un procédé inefficace. Nous sommes trop nombreux pour que les richesses redistribuées nous rendent riches. C’est pourtant notre souhait intime. Prenez toutes les richesses de la Terre, divisez la en parts égales pour chaque humains, et nous ne serions tous même pas au SMIC.

L’équité

• Mieux que l’égalité, l’équité semble une bien meilleure solution. Au point où nous en sommes, avec les connaissances que nous avons acquises depuis 1789, il est plus performant pour notre collectivité, que chacun obtienne une part en corrélation avec ses besoins.

Treebü

• Le problème avec toutes les solutions supra, c’est que la taille du gâteau ne varie que peu. Nous, chez Treebü, pensons que l’un des rôles essentiels de l’état, c’est de s’ingénier à faire que le gâteau grandisse sensiblement. Tout le monde monte, tout le monde s’enrichit encore. Mais de façon vertueuse, en tenant compte de notre environnement, sans le dégrader. Rappelez-vous que toutes nos découvertes, technologiques, sociétales, scientifiques, … sont incrémentales. Ce ne sont que de nouvelles couches posées sur les anciennes. Pensez-y, beaucoup de nos nouvelles technologies ne sont que les versions modernes, automatisées de découvertes anciennes. Grâce au support de l’État, nous devons chercher nos prochaines découvertes dans la créativité initiale. Et faire que si aujourd’hui nous vivons mieux que les rois anciens, en une génération nous vivions tous comme nos élites aujourd’hui. Quitte à ce que elles, puissent aller installer leurs villas sur Mars, on n’en sera pas fâché.

 Et vous, comment voyez vous les choses ?

• Demandez-nous les éléments d’illustrations, si vous êtes inspiré pour créer et nous présenter votre vision !

treebu17

soyez actif

• en stratégie, pour battre les leaders, il faut si possible, reprendre l’avantage en changeant le jeu ; et là c’est possible

• de mémoire, nous n’en retrouvons pas la source officielle, 7% d’une population parfaitement uni, peut faire basculer une majorité : notre histoire récente en serait en tous cas la confirmation

• il y a plusieurs manières de s’impliquer à nos côtés, plusieurs profils sont possibles :
– sympathisant, non actif sauf à déclarer ses votes en faveur de ce mouvement démocratique
– adhérent, cotisant étoilé, bénéficiant d’avantages et privilèges naturels
– expert, professionnel d’une discipline prêt à conseiller et encadrer
– bénévole, disposé à donner de son temps pour l’action, et l’organisation
– bienfaiteur, financier pour la cause
– élu, professionnel politique d’où sortira le nombre de nos représentants et conseillers politiques

• quelque soit votre profil, rejoignons-nous !

adhérent, matériel

ce sur quoi nous reflechissons

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• partant du principe qu’une mauvaise question ne peut donner de bonnes réponses, nous essayons de placer notre analyse pour bien comprendre et mieux hiérarchiser les problématiques
• ce qui place notre attitude à contre courant : nous devons à tous rigueur et honnêteté intellectuelle
• nos travaux portent également sur l’amélioration de notre « société », et sur sa performance à nous rendre collectivement et individuellement plus éduqués, plus libres, plus indépendants, plus sereins
• un point nous préoccupe : la fusion de l’économie devenue toute puissante et de la politique maintenant assujettie
• en 2000 ans, n’avons nous pas eu que 2 expériences significatives : capitalisme et communisme, habillés de monarchies, totalitarismes ou autre ? existe t’il d’autres modèles possibles ?
• nous pensons que oui, le meilleur est à venir : si nos administrations politiques sont ligotées, sans créativité, sans courage, forcées au rigorisme économique, c’est de peur de nous déplaire, à nous le peuple déjà souverain, aux réactions erratiques mais toutes puissantes
• et pourquoi l’économie prévaut elle sur nos vies ? qui fait qu’elle est devenue une sorte de personne morale susceptible et incontournable ? qui l’a imposée à l’humanité ? et pourquoi pas la sociologie, l’anthropologie, même la médecine, voire le badminton ? encore nous
• rappelons nous que les fonds de pensions américains, par exemple, si violents et tellement prédateurs, sont gérés pour des institutrices Canadiennes ou Texanes qui demandent comme nous un légitime droit à la retraite après leurs longs services
• pour la croissance, nous devons produire de plus en plus, sans bien sûr distribuer plus d’emplois
• mais à quoi bon produire plus alors que nous gaspillons tant : nos vies d’abord, mais nos ressources énergétiques et matières premières également, sans compter les dommages collatéraux [stress, maladies, divorces, insécurité, …] ; quelle est la part du gaspillage dans notre PIB ?
• cette économie qui nous emprisonne et nous oppresse, exacerbe les égoïsmes : individuels, institutionnels, corporatistes, nationaux, …
• et l’égoïsme est l’une des vraies sources de nos problèmes : MBA, me before all
• quadrature illustrée par cette métaphore : si c’est toi qui boit, moi je n’aurai pas moins soif ; surtout si de l’eau il n’y en a que pour un
• ce qui en soit n’est pas réprimandable, mais d’un mauvais calcul car vécu au pied de la lettre
• le meilleur des égoïsmes, plus efficace, n’est il pas celui où je pense aux autres ? ainsi plus ils seront nombreux, et plus ils seront à penser à moi en retour et à agir pour moi
• dans ce cadre, les forces syndicales représentant si peu aujourd’hui, bloquent tout un pays, en prétextant agir pour tous : ils ne défendent que leurs propres intérêts très minoritaires
• notre civilisation est pleine de ces contradictions qui bloquent même l’efficacité de l’économie
• nous avons tous la responsabilité d’une attitude schizophrène, même si légitime : celle du consommateur radin réactionnaire, qui est en même temps salarié manifestant activiste
• qui fait que chacun de nous et tous avons le pouvoir de vie ou de mort sur nos collègues de l’entreprise en face
• et les patrons, pas les 2.0, mais ceux du «brick and mortar*» : ce n’est pas une caste homogène non plus
• ils font front dans les organisations professionnelles, mais ils sont prêts à se battre à mort dans les arrière cours, sans pitié, sans hésitation, surtout s’ils ne sont pas les fondateurs des entreprises qu’ils dirigent
• quant au réchauffement climatique, il faudrait limiter la production industrielle et les transports …  donc augmenter le chômage
• nous réfutons la théorie d’un monde de la rareté : ce n’est pas la rareté qui caractérise notre monde mais sa « finitude », tout y est ressource
• et la rareté, ne serait ce que par la spéculation, n’est que l’une des modalités de gestion de cette finitude
• paradoxalement cette gestion entraîne immanquablement le gaspillage
• nous regrettons le ton péremptoire qu’arborent nos politiciens, et soulignons un travers immense de notre démocratie où ne parle que celui qui a l’habitude des prétoires et tribunes, au moins la facilité de parole, même vide
• hâtons nous d’ailleurs de faire s’exprimer le silencieux, il a passé son temps, lui, à observer et comprendre
• il ne faut pas confondre programme et homme, ni les mettre à la même hauteur : il y a d’abord à choisir une vision, ensuite une méthode, enfin celui ayant la compétence de fédérer et de porter un projet, même s’il n’en a pas l’initiative
• nous aimerions voir privilégiés les politiciens qui répondent à ces préoccupations
• mais il faut aussi battre notre coulpe : nous avons de lourdes responsabilités ici, collectives, communes et individuelles
• il faut penser au vivre ensemble et pour cela apprendre à se connaître, se maîtriser, puis accueillir l’autre, quel qu’il soit : c’est l’ingénierie sociale, la science des relations interpersonnelles
• la famille est un bon exemple, surtout aux abords : nous ne nous connaissons pas tous, ne nous apprécions pas forcément, mais avons le même patrimoine, la même histoire, les mêmes enjeux et intérêts
• alors traitons nous en cousins, et non en voisins, surtout pas en étrangers
• et que chacun trouve sa place dans ce grand tout, sur la base de ses capacités, de ses désirs, de ses talents et non pour et/ou par le salaire, nous sommes complémentaires
• pour le reste, mettons mieux au travail les machines, et capitalisons sur ce qui est déjà inventé et qui dort dans des tiroirs, aux fins de nous éloigner de la pénibilité
• naturellement, nous sommes ouverts aux remarques et aux débats avec experts et spécialistes
• au delà, démocrates, avec tous ceux qui ont un avis, puisse qu’il en est de notre intérêt commun : faites le ici

*brique et mortier, désigne le schéma économique traditionnel, opposé au click and mortar de l’ère numérique

organisation, postulats

ce sur quoi nous réfléchissons

• partant du principe qu’une mauvaise question ne peut donner de bonnes réponses, nous essayons de placer notre analyse pour bien comprendre et mieux hiérarchiser les problématiques
• ce qui place notre attitude à contre courant : nous devons à tous rigueur et honnêteté intellectuelle
• nos travaux portent également sur l’amélioration de notre « société », et sur sa performance à nous rendre collectivement et individuellement plus éduqués, plus libres, plus indépendants, plus sereins
• un point nous préoccupe : la fusion de l’économie devenue toute puissante et de la politique maintenant assujettie
• en 2000 ans, n’avons nous pas eu que 2 expériences significatives : capitalisme et communisme, habillés de monarchies, totalitarismes ou autre ? existe t’il d’autres modèles possibles ?
• nous pensons que oui, le meilleur est à venir : si nos administrations politiques sont ligotées, sans créativité, sans courage, forcées au rigorisme économique, c’est de peur de nous déplaire, à nous le peuple déjà souverain, aux réactions erratiques mais toutes puissantes
• et pourquoi l’économie prévaut elle sur nos vies ? qui fait qu’elle est devenue une sorte de personne morale susceptible et incontournable ? qui l’a imposée à l’humanité ? et pourquoi pas la sociologie, l’anthropologie, même la médecine, voire le badminton ? encore nous
• rappelons nous que les fonds de pensions américains, par exemple, si violents et tellement prédateurs, sont gérés pour des institutrices Canadiennes ou Texanes qui demandent comme nous un légitime droit à la retraite après leurs longs services
• pour la croissance, nous devons produire de plus en plus, sans bien sûr distribuer plus d’emplois
• mais à quoi bon produire plus alors que nous gaspillons tant : nos vies d’abord, mais nos ressources énergétiques et matières premières également, sans compter les dommages collatéraux [stress, maladies, divorces, insécurité, …] ; quelle est la part du gaspillage dans notre PIB ?
• cette économie qui nous emprisonne et nous oppresse, exacerbe les égoïsmes : individuels, institutionnels, corporatistes, nationaux, …
• et l’égoïsme est l’une des vraies sources de nos problèmes : MBA, me before all
• quadrature illustrée par cette métaphore : si c’est toi qui boit, moi je n’aurai pas moins soif ; surtout si de l’eau il n’y en a que pour un
• ce qui en soit n’est pas réprimandable, mais d’un mauvais calcul car vécu au pied de la lettre
• le meilleur des égoïsmes, plus efficace, n’est il pas celui où je pense aux autres ? ainsi plus ils seront nombreux, et plus ils seront à penser à moi en retour et à agir pour moi
• dans ce cadre, les forces syndicales représentant si peu aujourd’hui, bloquent tout un pays, en prétextant agir pour tous : ils ne défendent que leurs propres intérêts très minoritaires
• notre civilisation est pleine de ces contradictions qui bloquent même l’efficacité de l’économie
• nous avons tous la responsabilité d’une attitude schizophrène, même si légitime : celle du consommateur radin réactionnaire, qui est en même temps salarié manifestant activiste
• qui fait que chacun de nous et tous avons le pouvoir de vie ou de mort sur nos collègues de l’entreprise en face
• et les patrons, pas les 2.0, mais ceux du «brick and mortar*» : ce n’est pas une caste homogène non plus
• ils font front dans les organisations professionnelles, mais ils sont prêts à se battre à mort dans les arrière cours, sans pitié, sans hésitation, surtout s’ils ne sont pas les fondateurs des entreprises qu’ils dirigent
• quant au réchauffement climatique, il faudrait limiter la production industrielle et les transports …  donc augmenter le chômage
• nous réfutons la théorie d’un monde de la rareté : ce n’est pas la rareté qui caractérise notre monde mais sa « finitude », tout y est ressource
• et la rareté, ne serait ce que par la spéculation, n’est que l’une des modalités de gestion de cette finitude
• paradoxalement cette gestion entraîne immanquablement le gaspillage
• nous regrettons le ton péremptoire qu’arborent nos politiciens, et soulignons un travers immense de notre démocratie où ne parle que celui qui a l’habitude des prétoires et tribunes, au moins la facilité de parole, même vide
• hâtons nous d’ailleurs de faire s’exprimer le silencieux, il a passé son temps, lui, à observer et comprendre
• il ne faut pas confondre programme et homme, ni les mettre à la même hauteur : il y a d’abord à choisir une vision, ensuite une méthode, enfin celui ayant la compétence de fédérer et de porter un projet, même s’il n’en a pas l’initiative
• nous aimerions voir privilégiés les politiciens qui répondent à ces préoccupations
• mais il faut aussi battre notre coulpe : nous avons de lourdes responsabilités ici, collectives, communes et individuelles
• il faut penser au vivre ensemble et pour cela apprendre à se connaître, se maîtriser, puis accueillir l’autre, quel qu’il soit : c’est l’ingénierie sociale, la science des relations interpersonnelles
• la famille est un bon exemple, surtout aux abords : nous ne nous connaissons pas tous, ne nous apprécions pas forcément, mais avons le même patrimoine, la même histoire, les mêmes enjeux et intérêts
• alors traitons nous en cousins, et non en voisins, surtout pas en étrangers
• et que chacun trouve sa place dans ce grand tout, sur la base de ses capacités, de ses désirs, de ses talents et non pour et/ou par le salaire, nous sommes complémentaires
• pour le reste, mettons mieux au travail les machines, et capitalisons sur ce qui est déjà inventé et qui dort dans des tiroirs, aux fins de nous éloigner de la pénibilité
• naturellement, nous sommes ouverts aux remarques et aux débats avec experts et spécialistes
• au delà, démocrates, avec tous ceux qui ont un avis, puisse qu’il en est de notre intérêt commun : faites le ici

*brique et mortier, désigne le schéma économique traditionnel, opposé au click and mortar de l’ère numérique

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