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une piste de réflexion

Ce qui suit est à prendre avec grande attention.

C’est que notre système a produit ce monstre au nom paradoxal d' »Économie », puisse qu’il aurait dû dans les faits se nommer « Gaspillage ».

Ce vilain ordonne que le salarié soit pris en otage et en étau par la cupidité de deux associés naturellement opposés dans leur position, mais partenaires dans leurs objectifs : le consommateur et le commercialisateur.

Karim

Ces deux compères demandent et œuvrent sans relâche pour la baisse des prix, de tout, sans exception.

Dans ce duo machiavélique, celui cependant qui subordonne, celui qui a le droit de vie et de mort sur l’autre, c’est le consommateur. Ce client qui a toujours raison.

La chance du producteur /fabriquant /commerçant, c’est que ce consommateur n’a pas compris ni la conscience de son pouvoir absolu. Il se plaint en position artificielle d’exploité, se croit victime d’agissements contre sa volonté, alors que dans les faits, il est le patron de droit divin.

Protégé par la vérité cruelle de l’adage, dans notre monde tel qu’il est, dans nos attitudes egocentrées, qui veut que seul on ne va nulle part et qu’ensemble c’est le b… autrement dit le chaos.

Ses intérêts restent étonnement ainsi protégés, car des deux lui s’enrichît lorsque l’autre idiot s’appauvrit.

À l’aune du bénéfice du consommateur, en qualité et en quantité, il est vrai qu’il faudrait qu’il agisse dorénavant en intelligence, qu’il prenne la conscience que son pouvoir s’exprimera sans condition, s’il arrive à se contenter avec son frère, l’autre.

Si, dans l’effroi devant le changement, l’on ne veut rien modifier à ce monde, à ce paradigme et encore que, il faudra que le consommateur, coûte que coûte, accepte de payer le vrai prix des choses.

Samedi 28 Novembre 2020 à 17:12

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pensons au « Monde d’Après »

Nous sommes durement touchés par un mal invisible et potentiellement mortel. Il a déjà créé de trop nombreuses fois le malheur, fauchant des êtres que nous pleurons déjà tous.
Mais pour le mieux, la résilience, il faut tenter de transformer cette abomination en une vraie opportunité. Radicale.
Nous sommes à un moment exceptionnel de l’humanité, une configuration inédite. Le monde est à l’arrêt, les populations au repos. Et la nature se réveille. Et le calme reprend place. Nous sommes tous connectés, dans l’empathie, dans la solidarité.
Mais cet épisode, peut-être cadeau pour nous permettre rachat et rédemption, prendra bien vite fin. Ne tombons pas dans le piège absurde de repartir comme avant. Penser rentrer dans ses bonnes vieilles habitudes est d’ailleurs par trop optimiste. Nombre d’emplois seront perdus, des entreprises mourront aussi. Au contraire de nos croyances et espoirs, l’ambiance générale ne sera pas à la fête, hélas.
Partant du principe que gouverner c’est prévoir, touchés dans nos chaires nous le comprenons d’autant mieux ces jours, c’est maintenant qu’il faut agir. Et c’est à nous de prendre nos vraies responsabilités et de le faire concrètement, sérieusement. Arrêtons de paresser, nous sommes aux commandes de longue date. Ça se voit mieux maintenant que nous pensons pareil. Ce n’est pas aux élites, ce n’est pas non plus aux plus faibles, mais bien à nous qui nous maîtrisons et comprenons un peu mieux.
Nous en appelons aux économistes qui valideront notre vision disruptive, aux sociologues, philosophes, historiens, théologiens, … pour recadrer et ajouter du fond, aux informaticiens pour bâtir les structures d’une démocratie moderne, aux gens de lettres pour mettre en forme des mots beaux et compréhensibles, aux communicants pour évangéliser, aux gestionnaires de projets pour mettre tout ceci en musique.
Nous voulons tous travailler mieux, profiter plus de nos proches, de nos possessions, de notre liberté, voyager, nous cultiver quand nous le jugeons nécessaire, avoir beaucoup plus de temps libre et de sécurité, …
Absolument rien de sérieux et réel ne peut nous en empêcher. Nous en avons la preuve maintenant. La Terre continue de tourner, le Soleil et la Lune de se lever, et même, il sera intéressant de le vérifier à la fin des confinements, la température de baisser.
Nous avons tous maintenant du temps libre à disposition. Que ceux qui le trouvent trop long, trop lent, ceux qui sont prêts à tenter un changement salutaire, raisonnable, radical et tous les autres nous rejoignent. Nous, avec Treebü, travaillons depuis quelques années déjà et voyons cette fenêtre comme miraculeuse, toutes proportions gardées, la conscience des deuils qui nous frappent compris. Il vaut toujours mieux bouger dans le désordre que de rester statique dans l’ordre. Et l’on verra bien combien ça coûte au regard des retours sur investissement.
Souvenons nous dorénavant, que ce qui nous arrive reviendra. Cette vague suit la fièvre jaune, le choléra, le SRAS, Ébola, Zika, … Nous avons pu les éviter jusque-là. Et bien que cette lutte ces jours semble à notre portée disent les médecins, des agressions plus virulentes à l’avenir nous détruirons. Notre système vient de nous montrer ses proches limites, ses faibles barrières. Et même si ce n’est pas sanitaire, ce sera économique. Ou financier. Ou sécuritaire. Ou alimentaire. Ou qui sait. Le capitalisme, le libéralisme, ne sont pas fabriqués pour se battre et vaincre ces événements.
Votre projet, donc, pour un nouveau monde plaçant l’Homme bien devant l’économie placée elle dorénavant à son service ; plus humain ; voulant dire mieux adapté ; id es encore plus féminin, plus jeune, plus responsable, plus raisonné, plus introverti, plus moderne, plus performant mais interdisant toutes les compétitions inutiles, … ; c’est à dire in  fine bien plus fun !

Si vous voulez en savoir plus, demandez-nous notre programme en cliquant ici, dites nous quelles sont vos compétences, aspirations et comment vous voulez intervenir.

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comment nous pourrions procéder

D’abord, je me dois de vous demander pardon, car je ne souhaite pas vous blesser. Je ne veux offenser personne, c’est pourtant si facile à éviter. Il suffit de bien peser ses mots, et de corriger au fil de l’eau, en fonction des réactions de son interlocuteur. La bienveillance est bonne et constructive. Mais ici c’est difficile. Je ne vois pas votre visage, n’entends rien de votre langage corporel, nonobstant continue tout de même. Surtout que la pensée est fluide, court de plus en plus vite, et mon doigt sur le clavier a du mal à suivre, a peur d’en oublier, feinte même pour ne pas trop interpréter.
Anyway comme on dit, loin de Laroche-Migennes.

• Il est donc actuellement question d’une fenêtre. Ouverte sur le changement, souhaité par tous. Certains veulent ceci, d’autres cela, en fonction de sa compréhension, de son éducation, de sa trajectoire, … Donc des choses contradictoires, laissant la place au refus, sur fond de « vous n’êtes même pas d’accord entre vous ! ». Il n’y a rien de cynique, vous faites la même chose avec vos collègues.

• Nous n’y arriverons jamais par cette voie, parce que nous cherchons le PPCM [plus petit commun multiple]. Impossible, nos centres de gravité étant différents, excentrés les une par rapport aux autres, il y rarement concordance. Même plus besoin de diviser pour mieux régner. Le travail se fait tout seul. La seule destination ici c’est la révolution, nombreux sont ceux qui y voient des vertus. Oubliant que c’est un chemin hasardeux, semé de douleurs, de violences et d’embuches, pour des résultats sans pertinence, trop terre à terre.

• Alors que nous avons besoin du PGDC [plus grand dénominateur commun]. Là il y a tout de suite des possibilités de s’entendre. Tout le monde peut s’y retrouver, il n’est qu’une question d’angle pour y accéder, par des modalités gagnant/gagnant.

• Donc passons par cette fenêtre, ce moment, pour créer et mettre en oeuvre la société de tout à l’heure. Nous en avons besoins, les enjeux devant nous sont bien connus, et nous pouvons le faire dorénavant, nous avons collectivement parcouru un si long chemin.
Voilà.

• Aujourd’hui, chacun cherche du travail. C’est très réducteur. Il s’agit de survivre, plus que de vivre. Chacun doit inventer des stratégies pour en trouver. Jusqu’à se mettre derrière une caisse enregistreuse 35 heures par semaines 11 mois par an, avec un bac + 5. Terrible gaspillage de moins en moins rare, sachant que les caisses savent déjà se garder toutes seules. Ce n’est pas vivable sur un plus long terme. Pour illustrer, rappelez-vous l’inflation sous la République de Weimar*. À ce rythme il nous faudra bien vite un Bac+20 pour juste obtenir un travail alimentaire derrière un ordinateur.

• Nous sommes bien formés, merci à l’école de la république. Mais surtout nous sommes tous différents, de fonctionnements complémentaires. Artisan, artiste, politicien, manager, opérateur, ingénieurs, professeur, … il y a vraiment de la place pour tout le monde, et un emploi pour chacun. Bien sûr à hauteur de ses aspirations profondes et de ses capacités intrinsèques.

• Même si l’économie dit le contraire, notre société prochaine a le besoin de tous les talents. Il s’agit d’optimiser l’efficacité de notre organisation collective. Il y a naturellement ceux portés à soigner [pas forcément votre médecin qui voulait être artiste], celles à faire régner l’ordre avec diplomatie, ceux à éduquer les enfants, celles à bâtir des maisons, ceux à rédiger les lois, celles à diriger, … Hasard ou nécessité les répartitions par profils sont cohérents avec nos besoins.

Vendredi 22 Mars 2019 à 16:37

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pourquoi ça ne peut plus durer

• Nous sommes depuis longtemps dans une situation inextricable. Trop longtemps, et les noeuds se serrent toujours plus étroitement. Car personne ne maîtrise ce qu’il en est, globalement. Chacun se borne à placer ses pions au meilleur pour prendre et garder l’avantage. C’est de mieux en mieux pour certains, et de pire en pire pour ceux qui ne comprennent pas les règles de ce jeu cynique.

• En effet, notre société, comme toutes nos technologies, sont incrémentales. C’est à dire que l’on ne fait que de moderniser des choses anciennes. La voiture électrique n’existe que parce que les chars a bras était trop fatigants. Le smartphone s’impose parce que la malle poste était vraiment trop lente.

• Sur ce modèle, l’économie, la politique, se sont développées seules. Les décideurs du moment ne cherchant qu’à échapper à quelque chose de désagréable. Les opportunités, la chance pour les opportunistes ont fait le reste.

• Les travers de notre civilisation sont anciens. Il n’y a pas de vision globale, pas de gestion intelligente.
Nous devons finir par admettre que nous avons dorénavant besoin d’un système taillé sur mesure « bespoke », à celle que nous sommes maintenant et nos enfants seront au delà. N’en déplaise à ceux qui le craignent, mais le changement est absolument nécessaire, « for our own sake* ».

• Voila un schéma, réalisé par un cabinet d’audit international, qui donne à comprendre ce qui se passe. Les différents paramètres qui fondent notre civilisation, ne croissent pas au même rythme. Tout est pourtant inter connecté.


• Ici, les consommateurs sont la demande. Ce sont eux qui ont des besoins, grandissants. Notre essence humaine et matérielle. Il faut les satisfaire.
.Les chercheurs inventent des technologies qui aident à faire évoluer les mentalités. Que serions nous aujourd’hui sans Internet, alors que nos comportements changent à vue d’oeil ? [Joyeux anniversaire à lui qui, espérons le, va atteindre l’âge de la maturité].
.Les entreprises, qui doivent fabriquer ces biens et services ne font que suivre. Avec plus ou moins de talent, tout dépendant de leurs stratégies et de leurs opérations.
.Quant aux politiques, c’est là que le bât blesse vraiment, qu’elles soient économiques ou politiciennes. Elles devraient initier, l’économie au service de l’administratif, avoir des plans très en amont, pour prévoir et piloter.
.Qu’en est il des traditions ? Ne sont elles pas en contradiction avec les mentalités, la volonté des individus à vivre mieux ? Elles sont parfois également fondamentales, à l’origine de valeurs bonnes et inspirantes. Quant aux autres, qui sont plus du folklore maintenant que nous comprenons grâce aux sciences, elles ne sont pas bonne, surtout quand elles contraignent les corps et les esprits.

• Seuls les Femmes et les Hommes de bonne volonté aujourd’hui, peuvent aider à vite réduire les écarts, entre ce que nous sommes devenus, et les civilisations où nous devrions être arrivés.

• N’hésitez pas à cliquer ici pour nous envoyer un commentaire, une idée, un petit film, … sur ce que vous en pensez.


*pour notre bien commun

Mercredi 13 Mars 2019 à 13:44

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les peuples contre leurs états

• Un petit exercice de sémantique de bas niveau, sert pour présenter ce nouveau postulat.
À cet étage, il existe peu de différence, au mieux des distinctions un peu floues, entre état, nation, patrie, …
Mais l’on y a bien la conscience des différentes acceptions de « peuple », puisse que nous y sommes plongés.

• Peuple est nonobstant pris pour la somme des volontés individuelles. Chacun y défendant alors ses simples intérêts.
Le manque de cohésion actuelle en est une bonne illustration. Difficile de fédérer les humiliations et frustrations tellement différentes.
C’est là l’un des dommages collatéraux d’une défaillance d’éducation. Au débit de ceux qui l’administrent.
Les vrais choses de la vie n’y sont pas abordées, comme la distanciation, la communication, la négociation, … Seuls quelques universitaires y ont accès. Et encore dans les sciences molles.

• Pour revenir au propos initial, il apparaît une distorsion, lorsque l’on voit que l’État a une vision mathématique autre. Il régit plus en terme de moyenne dans ces équations. Un petit peu de chaque avis, quand tous veulent tout sans concéder. Ce qui semble iraisonné dans notre cadre de référence. Il n’est pas possible d’une chose et en même temps son contraire.

• À moins, bien sûr, de changer de paradigme. Comme nous le suggérons des plus hauts cris que nos petits poumons peuvent émettre.

• Notons que l’agitation sociale s’avère néfaste ici. Tout bouge tout le temps. Ce n’est pas compatible avec cette nécessité de laisser décanter, aux fins de voir ce qui se précipite et ce qui fait mélange, solution.

• Alors comment atteindre l’ataraxie pour le gros de nos concitoyens, aux fins de leur permettre concevoir un grand bond en avant ? Ne serait ce pas là une question avec un sens d’importance ?

• À ce moment de notre humanité, alors que des hordes de mega calculateurs envahissent nos poches, rappelons nous qu’il sera facile de développer de nouvelles belles applications. Elles mettraient à profit leur rapidité de traitement et leur capacité infinie de mémoire. D’autant que de nouveaux algorithmes savent apprendre par eux même, et que bien écrits, pensés et encadrés par nos grands cerveaux humains, ces machines ne se trompent jamais.

14 Février 2019 à 17:36

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et si nous étions déjà au paradis ?

• Pourtant le Paradis c’est un lieu où coulent le miel et le lait.

• Il n’y a pas de violence.
Il n’y a pas de frustration.
Il n’y a qu’Amour.
Certes, mais comme sur Terre, la nature y est belle et généreuse.

• C’est l’Homme, dans son acception moderne, qui gaspille et abime tout.

• À contrario, partons d’un scenario de fiction.
Les croyants ont la connaissance de l’Eden pour les uns, de Dar Es-Salam pour les autres, …
Imaginez maintenant, que notre humanité, de cette civilisation, se retrouve demain dans ces lieux divins.
En combien de temps pensez-vous que nous allons le terraformer ? C’est à dire par nos comportements, nos croyances, nos habitudes, notre individualisme, notre irresponsabilité, … le rendre comme ici, un territoire dévasté.

• Ce qu’il y a de bien avec le Paradis, c’est que si nous prenons conscience de ces points, il existe pour récompenser les humains de leur bon comportement.
Rien n’interdit que ce soit ici bas.

©Vincent Caillebaut

Lundi 04 Février 2019 à 18:52

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des gilets jaunes partout

• Nous savons de longue date que la France est exemplaire aux yeux de l’Histoire. Ça nous vient de notre tempérament, de notre ADN, de notre culture.
Ainsi pareillement, le mouvement actuel des Gilets Jaunes se répand partout.
Alors si tout le monde est au diapason avec nous, avec nos idées, avec nos actions, pourquoi attendre et ne pas impulser quelque chose de bien plus grand, de bien plus intelligent, de bien plus efficace ? Changer fondamentalement ce système, personne ne se mettra sur notre route.
Arrêtons la violence, stoppons les débordements. Ils expriment juste le désarroi, l’impuissance en fait, et la chaleur passée ne donneront rien, aucune avancée. Plutôt, il faudra ramer pour rattraper tout ce temps «perdu» pour l’économie.
Écoutons ceux comme Treebü qui ont une belle et bonne vision, auditons leurs propositions, et mettons vite en oeuvre ce qui sera voté par nos concitoyens. Redevenus leader, nous récupérerons également notre première place au rang des nations.
«
Gilets Jaunes : la propagation a atteint 23 pays dans le Monde. Le silence médiatique main stream est assourdissant.
Les Médias français se gardent bien d’aborder ce sujet : le mouvement des Gilets Jaunes s’exporte partout dans le monde : en Europe, en Afrique, en Amérique, en Asie, … Nous vous proposons un tour du monde des Gilets Jaunes.
A Taïwan, la Ligue pour la réforme fiscale et juridique (qui milite depuis décembre 2016 pour obtenir une justice fiscale), a organisé une marche de Gilets Jaunes le 19 décembre. A Taipei (capitale de Taïwan), plus de 10 000 manifestants ont répondu à l’appel. [Taïwan News]
En Bulgarie, les manifestants antigouvernementaux ont commencé à porter des gilets jaunes dès le 16 Novembre. [LCI]
Au Canada, les Gilets Jaunes de l’ Alberta et des provinces de la Saskatchewan protestent contre la taxe gouvernementale sur le carbone et contre la signature récente d’un pacte sur la migration. [CTV News]
En Croatie, le 15 décembre 2018, des Gilets Jaunes ont manifesté à Zagreb , Pula et Rijeka. [Index.hr]
En Égypte, un avocat a été arrêté pendant 15 jours après avoir publié une photo de lui-même vêtu d’un Gilet Jaune pour soutenir les manifestations en France. [Jerusalem Post]
La vente de Gilets Jaunes a même été interdite en Egypte. [The Guardian]
En Allemagne, les Gilets Jaunes manifestent devant la porte de Brandebourg et à Munich. [Spiegel]
En Hongrie, des milliers de Gilets Jaunes protestent contre le gouvernement Orban dans les rues de Budapest. [Le Monde]
En Irak, le 5 décembre, des Gilets Jaunes ont manifesté à Bassorah pour obtenir davantage de possibilités d’emploi et de meilleurs services publics. Le gouvernement a tiré sur les manifestants à balles réelles. [NBC News]
En Irlande, les Gilets Jaunes protestent contre le poids disproportionné de l’impôt gouvernemental et des réformes contre la classe ouvrière et la classe moyenne d’Irlande. [The Journal]
Ils nous envoient la Yellow Dance pour soutenir les Gilets Jaunes Français : Yellow Dance outside GPO
‘Yellow Dance’ – Ireland’s #YellowVests Irish danced outside #Dublin’s historic GPO in solidarity with the French #giletsjaunes movement spreading across #Europe. #Ireland #YellowDance
En Israël, les incertitudes économiques et la corruption ont conduit à un rassemblement de Gilets Jaunes à Tel Aviv le 14 Décembre. [Jerusalem Post]
En Italie, la manifestation des Gilets Jaunes a inspiré un mouvement pro-gouvernemental mais anti-Européen: « Nous sommes inspirés par les Gilets Jaunes français , mais nous sommes motivés par d’autres questions. Contrairement aux Français, nous soutenons notre gouvernement. Nous protestons contre l’Europe. Nous voulons que l’Europe n’interfère plus avec la politique italienne». [The Guardian]
Au Burkina Faso, la révolte du 29 Novembre dernier gronde contre la hausse de 12% du prix des carburants. Si les manifestants n’étaient pas vêtus de gilets jaunes – et ne se revendiquent pas de ce mouvement – ils arboraient des vêtements de couleur rouge. Répondant à l’appel de la Coalition nationale contre la vie chère, ils scandaient «Non à la hausse des hydrocarbures», «Non à la paupérisation des citoyens», ou encore «Pain et liberté pour le peuple» dans les rues de Ouagadougou.
En Jordanie, des manifestants jordaniens critiquant la situation économique dans le pays ont commencé à endosser des Gilets Jaunes alors que les manifestations se propageaient à l’extérieur de la capitale. [The National]
Aux Pays-Bas, le 1er décembre, des Gilets Jaunes ont manifesté dans des villes néerlandaises. De nouvelles manifestations ont eu lieu le 8 décembre, au cours desquelles des manifestants pacifiques ont traversé Rotterdam. [NL Times]
Au Pakistan, des centaines d’ingénieurs ont organisé une journée de protestation à Lahore avec des Gilets Jaunes. [Pakistan Today]
En Pologne, le 12 décembre, un groupe d’agriculteurs a bloqué l’autoroute A2 à 30 kilomètres de Varsovie, réclamant une indemnisation pour les porcs qu’ils étaient obligés d’abattre (en raison de la peste porcins africaine) et protestant contre l’importation de produits agricoles ukrainiens non étiquetés par rapport à leur pays d’origine. Le ministre de l’Agriculture, Jan Krzysztof Ardanowski, a rencontré les manifestants pour leur expliquer que le gouvernement allait satisfaire toutes leurs revendications. [New York Times]
Au Portugal, le 21 décembre 2018, un rassemblement de Gilets Jaunes a été organisé sous le slogan « Vamos Parar Portugal », ce qui se traduit approximativement par «Arrêtons le Portugal». [Euronews]
En Russie, le 23 décembre 2018, des manifestants portaient des Gilets Jaunes lors d’un rassemblement contre l’augmentation des frais de stationnement à Moscou. [Kommersant]
En Serbie, une organisation de défense des droits civils « Združena akcija Krov nad glavom » (traduction: action combinée, un toit sur la tête) a commencé à utiliser des Gilets Jaunes dans le cadre de ses manifestations pour s’opposer à l’expulsion d’un habitant du district de Mirijevo à Belgrade et pour faire preuve de solidarité et d’une cause commune avec le mouvement des Gilets Jaunes français. [N1 Info]
En Tunisie, un groupe dérivé, les Gilets Rouges, est apparu sur Facebook, appelant à des manifestations contre la situation économique du pays. [Independent]
Le symbole a également été utilisé par des manifestants au Royaume-Uni, en Suède et en Grèce. [BBC]
En Belgique, le mouvement « Gilets Jaunes » est très actif depuis 1 mois.
La police anti-émeute à Bruxelles a été la cible de billes de billard et de pavés le 30 novembre. Elle a riposté avec des canons à eau. 60 arrestations ont été effectuées pour trouble à l’ordre public. [Source]
Plusieurs dépôts de pétrole ont été bloqués en Wallonie le 16 novembre 2018 [Source]. Certains Gilets Jaunes belges ont commencé à former un parti pour les élections fédérales belges prévues en 2019 sous le nom de «Mouvement citoyen belge». [Source]
Le 8 décembre, des manifestants réclamant la démission du Premier ministre Charles Michel ont tenté de franchir un barrage anti-émeute, la police a utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau pour disperser les manifestants. Les manifestants ont jeté des pierres, des fusées éclairantes et d’autres objets sur la police, une centaine de manifestants ont été arrêtés. [Source]
Les médias se gardent bien de parler de cette contagion mondiale du phénomène « Gilets Jaunes ». Il ne faudrait pas que ça motive encore plus les Gilets Jaunes Français!! Charge à nous de faire circuler ces informations.
»
Voici les principales sources de cet article, nous n’avons pas enquêté pour connaître l’origine du texte :
http://www.sunuker.com    https://www.reveillez-vous.fr/    https://lesmoutonsenrages.fr    https://stopmensonges.com

 Gilets Jaunes en Allemagne Gilets Jaunes en IranGilets Jaunes en Ireland
 Allemagne Iran Irlande
 Gilets Jaunes en Corée Gilets Jaunes aux Pays Bas Gilets Jaunes au Sénégal
 Corée Pays Bas Burkina Faso

Vendredi 11 Janvier 2019 à 13:21

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nous avons déjà le pouvoir

• Absolu. Observez comment, sans le savoir individuellement, nous faisons déjà les rois : artistes, industriels, politiciens, sportifs, … toutes nos élites en fait. Et voyez quand ils sont en place comment ils ont peur de nous, effrayés que nous reprenions les privilèges et avantages que nous leur avons malgré tout consentis.

• Alors pourquoi, si nous possédons cette suprématie, descendons-nous dans les rues faire ces tapages inutiles ? Parce que le pouvoir absolu corrompt absolument, et que beaucoup d’entre nous n’en ont pas pris la mesure. Surtout que chacun tire tout un peu vers lui, vers ses intérêts personnels, diluant ainsi les marges de manœuvre communes.

• C’est ensemble que s’exprime ce pouvoir, dans la collaboration, la coopération et l’entraide. Dans l’unité. Vous pouvez le constater ces jours ci à Caen, Bordeaux et autres villes où s’expriment les Gilets Jaunes. Et il en a toujours été de même avec par exemple les Blouses Blanches, les Bonnets Rouges, les Écolos Verts, voire simplement les Étudiants, ou même les Suffragettes.
Et ça ne sera jamais dans la compétition, la concurrence, l’individualité et l’égoïsme.

• Diviser pour mieux régner pensent secrètement ceux qui sont devenus nos empereurs. 65 millions de mécontents, tous pour des raisons différentes, ne représente aucune menace, aucun danger. Mais imaginez 65 millions parlant d’une seule voix, comme un seul homme !

• Fondamentalement désenchantés et emplis de frustrations, nous avons effectivement besoin de changement. D’un changement radical. Changer de paradigme, de société. Parce que nous sommes maintenant conscients et exigeants. Et que nos secrets à nous c’est de vivre en élite : travail agréable, bonne éducation, belles voitures électriques, maisons toutes équipées spacieuses et décorées, voyages autour du monde, nourritures abondantes, savoureuses et saines, mais surtout indépendance financière, temps de loisirs et liberté.

• Ce n’est pas un problème d’homme. Les politiciens français sont globalement dignes et de bonne motivation. Prenons ces dernières années [celles qui nous concernent dorénavant, parce qu’elles ont vu des modifications incroyablement importantes avec notamment la mondialisation et le numérique], nos 3 représentants suprêmes, élus parmi nos meilleures femmes et hommes politiques : le Président Nicolas Sarkozy, le Président François Hollande et maintenant notre Président de la République Emmanuel Macron. Ils nous ont vendu a priori des idéologies très différentes, libérale, sociale, « originale ». Pour finir par faire la même chose. Il y a donc quelque chose qui, une fois en place, les dépasse*.

• Certains de nos politiciennes et politiciens veulent changer la constitution, pour passer à la sixième république. Ou que la France quitte l’Europe avec le Frexit. Est-ce l’objet ? Est-ce vraiment représentatif de nos états d’esprit dans les sondages ? Allons-nous ainsi pouvoir augmenter nos niveaux de vie et enfin accéder à un bonheur mérité ?

• Il est vrai que ces approches, se voulant toutes également du changement, ne proposent jamais une vision « holistique », c’est à dire simplement « qui concerne un organisme dans son ensemble », en comprenant les interactions. Par exemple ils soignent le chômage sans tenir compte de l’écologie, ils prônent le recyclage et incitent au gaspillage, ils mettent en avant l’économie qui est loin de l’humanisme, ils essayent d’augmenter la sécurité par des lois mettant en danger nos libertés individuelles, …

• Il ne se trouvera plus jamais de solutions complètes, exhaustives, en ne pensant que dedans. Les meilleures solutions globales ne se trouvent que hors de la boîte.

• Nos ambitions intimes, nos souhaits profonds collectifs et individuels sont bien au delà de ce que nous demandons à voix très haute. Comme au moment de la Révolution Française nous avons faim. Pas de pain, mais de vie. Nous clamons pour des besoins primaires, parfois à raison il est vrai. Mais même la faim au ventre, nous voulons ici et maintenant, au XXIème siècle, nous accomplir et réussir nos vies. Des concepts très nouveaux dans l’histoire de l’humanité. Et si nous trouvons la voie, les autres peuples, comme dans l’histoire, nous suivront.

• Alors nous sommes depuis quelques années maintenant en état de révolution permanente. Nos demandes croient avoir trouvé un support en réclamant des modalités quant à la démocratie. Se sentant bafoué et nié, depuis trop longtemps trahi même, le peuple veut des constituantes, de la démocratie participative, des référendum d’initiative citoyenne [RIC], de la démocratie directe, et tout cela est bien. Peut être même la 6ème république pour tout redéfinir et pouvoir mieux s’exprimer.

• Combat d’arrière garde, si l’on considère que la technologie a déjà trouvé les solutions. L’informatique offre déjà des modalités sécurisées, de façon redondante, agiles, versatiles, séduisantes, ludiques, intelligentes, … Alors que nous sommes tous déjà interconnectés, avec des terminaux surpuissants dans nos poches. De quoi piloter notre démocratie d’un doigt.

• Le vrai combat, c’est celui de nous changer d’abord et avant toutes choses. Car nous ne sommes qu’une moyenne. Et que chacun ne pense que pour lui. En disant qu’il a l’avis du peuple. Non. Les neuro-sciences disent que nous sommes tous de fonctionnements cognitifs très différents. Apprenons à nous connaître, à connaître les autres, et nous pourrons nous fédérer, et négocier pour nous tous.

• Ensuite, enfin, nous pourrons tout changer, pour le meilleur, nous avons déjà vécu le pire.

*ils sont pris entre deux feux : nous et la dette envers des tiers privés

Lundi 26 Novembre 2018 à 06:24

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les révolutions n’y ont rien fait

• Et elles n’y feront rien comme ça. Il ne s’agit que d’agitations, trop souvent et inutilement violentes. Nos élites politiques et les serviteurs des administrations n’y sont pour rien. Collectivement et individuellement egocentrés, individualistes, paranoïaques et schizophrènes nous sommes les seuls responsables. Chacun veut tirer la couverture à soi, gréviste face au citoyen, sans sa- voir ce qu’il veut, salarié ou consommateur. On veut bien parler mais pas écouter. Qu’on nous plaigne mais sans regarder l’autre… En face, nos serviteurs ne savent où donner de la tête, toujours tiraillés par nos contradictions. D’abord arrêtons de nous focaliser sur les sommes folles qu’ils gagnent, elles sont méritées. Et ceux qui fraudent ne vous inquiétez pas, ils payent un jour ou l’autre. Donc mettons nous en ordre, remercions les vertueux et sachons mieux les diriger à nous rendre service. Avant de nous battre, les Dirigeants le savent bien, il nous faut l’essentiel pour fixer des objectifs. Une vision. Nous le peuple, n’avons pas et jamais eu ce qui nous permettrait un changement radical et rapide : une vision. Et si les pdg des grosses entreprises gagnent autant, l’une des raison est là, leur vision. Car il n’est pas facile pour tout le monde de se projeter loin dans l’avenir, d’imaginer. Nous, nous ne savons vraiment pas ce que nous espérons pour nous même à 5 10 ou 20 ans. Notre seul lien au futur c’est ce cdi qui nous tient et nous renseigne sur notre sort individuel jusqu’à la retraite. Ce CDI qui nous emprisonne et nous asservit surtout. Et, que c’est drôle, tout le monde court après et fait son inéluctable mini burn out. Donc, réfléchissons chacun, depuis son home, à ce qu’il veut pour son futur, pour celui de ses proches. Mettons tout ça en commun, débattons entre nous et décidons du but à atteindre. Nos politiciens suivront.

28 Avril 2018 à 08:04

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