Nos gouvernances nous ont conditionnés à accepter des expressions qui vont à l’encontre de notre nature, créant une contrainte à travailler pour survivre. Il est nécessaire de revoir notre système pour réparer ce monde en déclin, en évitant d’écouter les spécialistes déconnectés de la réalité.
Un paradigme, c’est la manière de voir les choses, une représentation du monde, un modèle cohérent.Symbolisés et représentés ici par un grand, un moyen et un petit. Rappelez-vous que toutes nos découvertes, technologiques, sociétales, scientifiques, … sont incrémentales.
Le travail ne se résume pas à une réalité économique, mais a des vertus telles que rester actif, s’inscrire dans un corps social, se cultiver, développer son intelligence et sa créativité. Cependant, il est souvent réduit à un simple rôle alimentaire, ce qui limite son potentiel d’épanouissement personnel.
Il est temps de mettre en place une société équilibrée, car actuellement, trouver un emploi est synonyme de survie.
Chacun a des talents uniques à offrir pour optimiser notre organisation collective
Nous sommes dans une situation inextricable depuis longtemps. Les bonnes volontés doivent réduire les écarts entre notre société actuelle et ce qu’elle devrait être.
Un petit exercice de sémantique de bas niveau sert à présenter un nouveau postulat, avec peu de différence entre état, nation, et patrie. Le peuple est considéré comme la somme des volontés individuelles, ce qui entraîne un manque de cohésion.
Le paradis est un lieu de paix et d’amour, mais l’homme gaspille la nature. Si notre société était transportée là, combien de temps avant de le détruire ? Le paradis peut exister ici-bas.
La technologie offre des solutions pour une démocratie participative, mais le véritable combat est de nous changer nous-mêmes d’abord, de nous connaître et de nous unir pour négocier ensemble.
Les révolutions ne changent rien, il s’agit d’agitations violentes. Il faut arrêter de se focaliser sur les salaires des dirigeants, et les fraudeurs paieront.